Presse

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On n’a pas l’habitude d’entendre ce genre de pianiste. On se promène entre musique folklorique, jazz, classique, apparemment il n’y a plus de frontières […] Il joue avec une puissance que l’on trouve très rarement chez des pianistes européens […] Une technique héritée de Franz Liszt !

Une musique forcément voyageuse, infiniment cultivée, dense et drôle, descriptive ou allusive, interprétée avec brio exceptionnel.

A la fois explosive et romantique en diable, le musicien ukrainien séduit par sa virtuosité et son charisme.

Dimitri Naïditch recrée les œuvres du grand répertoire en le passant à travers le prisme de son imagination. Pianiste classique et jazz à la fois, il passe d’un style à l’autre avec un naturel déconcertant, une véritable liberté d’improvisation … toujours dans le respect de l’œuvre originale. Virtuosité, puissante énergie, […] une alliance heureuse avec le jazz contemporain, toujours avec cette vigueur qui est le propre des pianistes de l’Est.

La signature d’un pianiste, c’est d’abord une couleur sonore : celle de Dimitri Naïditch est séduisante, vive, ardente, quasi charnelle [...]. C’est ensuite une mémoire : celle de Dimitri Naïditch est riche, pétrie de cultures multiples, passée par Chopin et Liszt mais aussi par Duke Ellington, Rachmaninov, Art Tatum et le folklore ukrainien, Bach, le blues, Tchaïkovski et le boogie-woogie … ce qui lui permet d’explorer des chemins inconnus.

Un artiste que j’aime particulièrement. Un des seuls pianistes que je connaisse qui fasse une carrière à la fois jazz et classique.

Personnellement, j’apprécie encore plus Dimitri lorsqu’il joue Naïditch : il nous raconte la musique de sa terre. Fusion du jazz, folklore ukrainien, univers classique. Je l’écoute toujours avec beaucoup d’émotion et de respect.

Dimitri Naïditch fait partie de ces musiciens extraordinaires dont le talent déborde des cases imposées par le system. […] Plein de fougue et d’enthousiasme, il est également dépositaire de cette fameuse âme russe qui mêle l’amour de l’humanité à celui de la nature, le rire et la nostalgie, le mysticisme à la virtuosité.

D’abord interloqué, le public est intéressé puis électrisé par l’énergie et le dynamisme d’un musicien qui est tout à la fois, interprète, compositeur et chef d’orchestre et qui, du micro au clavier, l’entraîne peu à peu dans son univers.

Musicien classique extraordinaire mais aussi authentique jazzman, il passe, avec désinvolture, d’un renvoi célèbre à l’autre en les filtrant avec son incroyable sensibilité, avec une musicalité exceptionnelle et une technique hors pair.

Le pianiste Dimitri Naïditch a marqué durablement les esprits. Par sa personnalité d’abord : porté par son amour de Bach, de la musique, de son instrument, il déploie sur scène une énergie particulière, qui envahit tout l’espace et jusqu’à atteindre le public par une alchimie particulière. Par son talent ensuite […], séduit par le jazz […], il relie aujourd’hui les deux univers, reliant et transposant d’une richesse harmonique à l’autre avec une aisance déconcertante, dans un strict respect de l’œuvre du compositeur. Il est très rare […] d’entendre un musicien interpréter aussi parfaitement des œuvres de Bach, s’envoler dans une prodigieuse improvisation nourrie de son inspiration, tout en demeurant fidèle à la portée musicale de l’œuvre ! Du grand art, surtout dans le cadre d’un trio d’une telle qualité […]. Une image restera : celle de Dimitri Naïditch recourbé sur son piano, faisant totalement corps avec lui, sa longue mèche de cheveu effleurant presque le clavier. Métamorphoses de l’amour !

J’ai passé un moment magique en compagnie d’un somptueux pianiste plein de créativité et de virtuosité. La musique sans tabou ! L’alchimie du jazz et du classique, avec une aisance à couper le souffle ! Dimitri Naïditch nous a offert toute la palette de ses talents de compositeur, s’interprète, de comédien, d’improvisateur, brisant ainsi les chaînes d’un monde parfois trop conformiste pour laisser place aux sensations, vibrations, dont le musicien a la clé !

AH ! VOUS DIRAI-JE MOZART

Dimitri Naïditch retrouve ici ses complices de son album précédent, BACH UP, consacré à Bach, Gilles Naturel et Arthur Alard. Cette fois ce sont les compositions de Mozart qui servent de base aux improvisations du trio. Les dix thèmes sont « inspirés » comme il le dit lui-même par Mozart tant les concertos que les symphonies ou les sonates. Dans la tradition de Jacques Loussier ou Eugen Cicero, il crée sur une Steinway D un univers musical qui doit autant à la délicatesse et à l’élégance des compositions Mozartiennes qu’a l’allant et à la maestria di trio jazz qui affirme ici une liberté d’improvisation et de finesse tout à fait passionnante. Son traitement aide à révéler qu’au-delà des circonstances conjoncturelles de sa musique, Mozart avait enfermé dans ses partitions une parcelle d’éternité.

Nul doute que le jeune Mozart aurait adoré ce disque. Connaissant sa fougue et sa modernité, il n’aurait pas crié au sacrilège comme certains tenant du classicisme pur risquent de le faire. Vivant à notre époque, il aurait certainement fait partie de ces musiciens innovants sans cesse, insensible aux frontières musicales et aux chapelles. […] Mozart est là - désolé - en liberté sous les doigts de Dimitri, enfin détaché de la partition que les musiciens classiques doivent en principe suivre à la note près, sous peine d’excommunication. Les passages « fidèles » laissent la place aux variations du trio et c’est un vrai régal en particulier pour les gens comme moi pas très enclin d’habitude à écouter trop longtemps de la musique classique, de Mozart ou d’autres. Quel bonheur que de telles passerelles existent, que la virtuosité soit au service aussi bien de la rigueur que de la liberté ! Redécouvrez Mozart d’une autre manière à travers ces arrangements respectueusement impertinents. « La Ci Darem la Mano » tiré de Don Giovanni conclut les dix titres de se superbe album de la manière la plus flamboyante possible.

Avec les mêmes acolytes pour la rythmique (Gilles Naturel à la contrebasse et Arthur Alard à la batterie) il continue un travail de réinterprétation fait preuve d’audace et savoir-faire. Assurément, les trois musiciens s’entendent comme larrons en foire et aiment à paraître légers. Il suffit d’écouter le résultat de leur travail pour comprendre que derrière cette apparente insouciance Dimitri Naïditch et ses deux collègues de jeu font un truc de tueur patenté : ils savent être gracieux, tendres et inspirés par la magie de l’instant, élégants et distingués, bourrées d’une énergie communicative. […] Bref, ils sont très très mozartiens. Et comme Wolfgang Amadeus était un peu un martien, leur trio a su voler haut dans un espace musical virtuose bien vivant, empreint de fraîcheur et vraiment très plaisant à écouter. Il serait dommage de vous priver d’un moment musical qui transmet une joie de vivre vivifiante.

Il ne s'agit pas d'une simple transposition d'œuvres classiques en jazz mais bien d'inspiration. Partant de thèmes originaux de Mozart, le pianiste laisse vagabonder son esprit créatif qui bifurque allégrement du classique au jazz donnant ainsi naissance à des pièces tout à fait savoureuses et brillantes. […] Les thèmes classiques se mettent à swinguer, à prendre des couleurs latinos ou Rhythm 'n'Blues, fusionnent avec le jazz et se transforment tout naturellement. Les harmonies se colorent délicatement et astucieusement. Symphonie, sonate, concerto, musique sacrée ou opéra, quelque soit le genre, Dimitri Naïditch maîtrisant autant le langage classique que le jazz nous en offre une relecture passionnante et inédite, ludique et d'une belle qualité. On découvre chaque titre avec un réel plaisir !

Ils‘attaque maintenant, avec AH ! VOUS DIRAI-JE … MOZART (DINAÏ Records / L’Autre Distribution), au monument que l’on connait. Selon les morceaux, il ré-harmonise, transforme les rythmiques et transporte chaque pièce dans un monde musical nouveau (Rhythm & Blues, Bossa Nova) en conservant la grâce et l’élégance du compositeur original. Avec la classe de Gilles Naturel (b) et du jeune Arthur Alard (dms), la réussite est au bout du chemin pour un projet aussi original que passionnant.

BACH UP

C’est Bach qu’éclaire le pianiste Dimitri Naïditch, superbement soutenu par la contrebasse de Gilles Naturel et la batterie d’Arthur Alard. Le toucher très clair, presque juvénile, du pianiste fait merveille, générant une allégresse légère qui au fond justifie le terme « Allegro ». La Musette en ré majeur BWV 126 Anhang, extraite d’un des Petits livres d’Anna Magdalena Bach, est exposée au mélodica, ce qui ne surprend nullement tant la musique de Bach se prête à toutes les interprétations et trouve dans cet album une preuve nouvelle de sa superbe intemporalité qui relève de l’ordre même du monde sans présence humaine !

En plongeant dans l’œuvre du Cantor de Leipzig, le pianiste Dimitri Naïditch y déploie un éventail de variations jazz étonnamment appropriées […] Est le sort qu’il réserve à Bach en devient tout simplement un régal pour mélomanes.

Bien évidemment on pense tout de suite au « Play Bach » de Jacques Loussier lorsqu’on découvre ce disque… D’autres se sont depuis essayé à cet exercice. Il faut dire tout de suite que ce que Dimitri Naïditch nous propose avec le concours de Gilles Naturel (b) et d’Arthur Alard (dm) est d’une autre nature. Le travail réalisé ici est bien plus fondamental. Et, finalement c’est quelque chose comme la proximité de tout genre musical avec tous les autres qui se manifeste dans cette musique. On peut aimer le jazz. On peut adorer Jean‐Sébastien. On doit reconnaître dans BACH UP (DINAÏ Records / L’Autre distribution) une musique à part entière, non pas une sorte « d’exercice » aussi brillant soit‐il, mais au contraire un ouvrage complet, ayant en quelque sorte sa raison en lui‐même. Il y a ici des beautés merveilleuses. Souvent, sinon incessamment. Il y a là le fait d’une grande intelligence musicale, d’une culture profonde et d’un désir de partage. Dimitri Naïditch est un grand interprète assurément. Mais il est aussi un inventeur […] Mais « une version jazz » ne dit rien, tout au plus pas grand chose, de cette musique, de sa beauté constante. On aura compris que le mélange des genres, le plus justifié et le plus habile qui soit, ne saurait parvenir à un tel résultat sans bien plus : une capacité de création, d’invention, un art singulier

Merveilleux ! […] Il s'approprie ici en formation de trio piano, contrebasse, batterie, le répertoire du "Maître de Leipzig" le faisant communier avec le jazz. Et cela donne un résultat des plus appréciables ! Entre citations de la partition originale et réinterprétation libre et inspirée, toujours délicieusement musicale et swing, chaque morceau séduit par sa fraîcheur et son enthousiasme jazzistique. L'interprétation est tout autant structurée par l'écriture de Bach qu'imprégnée de la liberté du jazz teintée d'improvisation, de délicieux solos et du jeu agile et raffiné du pianiste. On s'amusera à reconnaître quelques citations d’autres compositeurs classiques se glissant au détour d'un thème. On croisera notamment la dense virtuosité de Liszt (1), des bribes de Gershwin (4), de Piazzola (6), du folklore russe (8) […] Le programme est complété par un dernier titre en public : une improvisation sur les notes constituant le nom B.A.C.H. au piano seul, sorte d'hybride musicale tant classique que jazz démontrant tout le talent du pianiste inspiré allant de l'ambiance tonitruante et grandiose du début du morceau à la délicatesse finale.

C’est pour notre plus grand plaisir car ce BACH UP (L’Autre Distribution) est une totale réussite. Avec Gilles Naturel à la basse et Arthur Alard à la batterie, le pianiste arrive dès les premières mesures à nous faire oublier l’incontournable Jacques Loussier, l’un des premiers à avoir voulu marier Bach et le jazz. Dimitri se propose maintenant de s’attaquer à Mozart, Liszt ou Tchaïkovski et, vu son talent, on sera encore client.

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Marmite infernale – Au charbon

2001


Repéré en Ukraine par les musiciens de l’ARFI, Dimitri Naïditch s’installe en France en 1991 grâce au soutien de cette association : l’une des plus anciennes associations de musiciens de Jazz français. Il participe à plusieurs de leurs projets et devient, pendant quelques années, un membre permanent du grand orchestre de l’ARFI : « La Marmite Infernale ».

Recorded Live at Grenoble at Ciel En Mars 2000
except 2, 7, 9 recorded at Oullins (69) at Théâtre de la Renaissance

Record Label : ARFI, 2001

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AH ! VOUS DIRAI – JE … MOZART

2021


Après « Bach Up » consacré à Bach, « Ah ! Vous Dirai-Je … Mozart » est le second album de la collection NEW TIME CLASSICS, pensée et réalisée par Dimitri Naïditch. Le travail d’arrangement et de composition préalable, l’improvisation libre autour du texte original, tout lui sert à s’approprier des œuvres célèbres et leur donner un éclairage nouveau.

Dimitri Naïditch : piano, compositions, arrangements
Gilles Naturel : contrebasse
Arthur Alard : batterie, percussion, siffle
Cynthia Abraham : voix (2)

Table Header
1. Naïditch : Fantaisie 40 (d’après la 40ème Symphonie, K550)
4: 52
2. Naïditch : Bossonata (d’après la Sonate en Do majeur, K545)
4 : 38
3. Naïditch : Romance (d’après le 2ème mouvement du concerto en Ré mineur n°20, K466)
6 : 49
4. Mozart - Naïditch : Adagio (d’après le 2ème mouvement du concerto n°23 en La majeur, K488)
8 : 22
5. Naïditch : Ah ! Vous Dirai-je … Mozart
6 : 14
6. Naïditch : Jazzante (d’après le 2ème mouvement du concerto en Do majeur n°21)
3 : 56
7. Naïditch : Mozart Dans les Etoiles (d’après Ave Verum Corpus)
5 : 15
8. Mozart : Fantaisie en Ré mineur, K397 (extrait)
4 : 09
9. Naïditch : Jazz - Fantaisie (d’après Fantaisie en Ré K397)
4 : 52
10. Mozart - Naïditch : La Ci Darem la Mano (d’après Don Giovanni, K527)
6 : 00

Produit par Piano Ma Muse
Dimitri Naïditch joue sur un piano Steinway D
Enregistré en Aout 2020, au DINAÏ Studio à Achères la Forêt
Enregistrement, mixage : François Admouchnino,
Mastering: François Admouchnino, Julien Bassères – Studio de Meudon
Conception graphique : Maxime De Bollivier
Photos : Maxime Dollo, Jérémy Bruyère, Oles Badio
Traduction anglais : Kay Denney

DINAs records 2021

Ah ! Vous Dirai-Je … Mozart

Faire un disque dédié à Wolfgang Amadeus Mozart s’est imposé comme une évidence pour moi. J’écoute sa musique depuis tout petit, mais la vraie rencontre n’a pu se faire que beaucoup plus tard, quand j’étais déjà adulte. C’est la réécoute de ses concertos pour piano qui a provoqué dans mon âme une résonance d’une puissance incroyable ! Ce fut un vrai « coup de foudre » !

Et si Mozart occupe une place aussi unique dans l’Histoire de la Musique, c’est que nul autre compositeur allie la puissance d’un génie hors norme avec une âme aussi belle, aussi radieuse. Une âme d’enfant qui est restée pure et lumineuse, malgré les épreuves de la vie. Il y a tout dans sa musique : une grâce naturelle, l’élégance d’une fleur, la tendresse des premiers rayons du soleil de printemps, l’énergie débordante et légère d’un éclat de jet d’eau par une journée d’été … La tristesse, douce ou profonde, jamais pesante. Et puis, cette simplicité, cette évidence, cette perfection ! Sa musique caresse, pardonne, inspire, entraîne dans un tourbillon d’une vitalité enivrante, toujours en finesse, jamais par la force. Elle nous livre toute la beauté de son âme pure et délicate, sans une ombre de méchanceté. Ses œuvres sont des lettres d’amour qu’il nous a postées au travers des siècles. Des lettres où chaque mot est écrit avec la sincérité d’un enfant, qui, sans aucune méfiance vient se confier à sa mère, un enfant qui n’a jamais voulu grandir.

J’aime tellement la musique de Mozart ! Et Comment décrire cet amour ? Comment expliquer cette sensation d’émerveillement presque douloureuse que me provoque sa musique ? Et aussi exprimer ma reconnaissance sans mesure pour celui qui a consacré toute sa vie à créer des perles dont l’éclat ne s’éteindra jamais ! Cet amour n’est qu’un reflet du sien, qu’il nous a offert, à tous, si généreusement. C’est l’objet de ce nouvel opus …

Les œuvres que vous trouverez sur cet album m’ont inspiré des traitements pluriels. Pour certaines, peut être les plus célèbres, j’utilise juste quelques éléments des thèmes originaux pour créer des œuvres singulières. C’est le cas de la 40ème Symphonie (Fantaisie 40) et de

Ah ! Vous Dirai-Je, Maman (Ah ! Vous Dirai-Je … Mozart). D’autres m’ont provoqué l’envie de leur donner un éclairage inattendu, venant de styles de musiques modernes clairement identifiables. Cette transformation devient possible grâce au travail de ré-harmonisation, de transformation rythmique et d’utilisation d’une orchestration propre à chaque style.

Cela m’amuse beaucoup d’observer comment le célèbre Andante du Concerto n° 21 en Do majeur se transforme en … Rhythm and Blues ! Ou alors, comment le mouvement lent de la Sonate n°16 en Do majeur devient … Bossonata ! Dansante, pétillante, comme souvent la musique de Mozart, mais, cette fois, avec des influences de la musique brésilienne, grâce aussi à la présence exceptionnelle, sur ce titre, de la merveilleuse voix de Cynthia Abraham. Cette notion d’amusement, est souvent présente dans les œuvres de Mozart qui, en grand enfant qu’il est, aime jouer, dans tous les sens du terme !!! Et cela m’a paru tout à fait naturel de poursuivre dans son sens ! C’est un aspect qui, à mon goût, mériterait d’être mis en évidence, bien plus que cela ne se fait dans la tradition d’interprétation classique d’aujourd’hui, devenue tellement sérieuse !

La beauté absolue de certaines œuvres m’ont imposé une retenue dans mon approche créative, faisant ressurgir l’interprète que je suis, amoureux de l’originale. Dans ce cas, je reste proche de la structure initiale, en apportant toutefois de légères touches d’arrangement et d’improvisation … Il en est ainsi de l’Adagio du Concerto pour piano n°23 en La majeur, une des plus belles pages musicales jamais écrites ! D’autres œuvres, encore, mélangent toutes ces approches…

Parallèlement aux réminiscences musicales diverses, aux côtés du Classique, le Jazz reste le langage dominant de ce disque. Majestueusement servi par les formidables Gilles Naturel et Arthur Alard, il reste l’un des éléments majeurs de mon approche NEW TIME CLASSICS.

L’improvisation tout autant … Indispensable dans le processus d’appropriation et de vivification des œuvres, elle amène aussi la vérité absolue du moment, qui est pour moi au cœur même de l’interprétation. Elle nous rapproche viscéralement de l’esprit de Mozart, lui-même grand improvisateur.

Ah! Vous Dirai-Je … Mozart

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1. Ne bois pas mon fils  

03 :04

2. La jeune fille et le fleuve (chant de mariage)

03 :15

3. Danse des Carpates

03 :15

4. Kolyskova (Berceuse)

03 :16

5. Pryjdy Mamka

03 :13

6. Na gori ovés (chant de mariage)

04 :08

7. Tchernovytska

05 :00

8.Oj sim lit boula

05 :11

9. Chanson en La

02 :41

10. Toccata sur Nesé Galia vodou

03 :38

11. Tchom ty ne pryjchov (Pourquoi tu n’es pas venu)

03 :51

12. Fauve song

05 :00

13. Douma

03 :18

14. Improvisation sur l’hymne Ukranien

04 :44

Dimitri Naïditch : piano, compositions originales (3,7,9,12,13) ou inspirées par les chants traditionnels (1,2,4,5,6,8,10,11)

UKRAINE
Les chansons sans voix ( The songs without voice )

NEW ALBUM RELEASES DECEMBER 9TH, 2022


Since 24 February 2022, my life has changed.
My country of origin, Ukraine, today is threatened with destruction, trampled upon,
humiliated, by a brutal, soulless force. Atrocities that defy the imagination are committed unceasingly. A nation in which all inhabitants were declared Nazis, deserving of extermination. Men, women and children alike.


While I took French nationality after 30 years living in France, I remain forever Ukrainian. I feel that both my body and soul are under attack. Today I long only to scream, sing, play or cry: Ukraine, resist at all costs!

Producing a CD for Ukraine in these stricken times was the obvious move, and even an absolute necessity. I have already recorded several projects featuring this music, but today, I wanted to pay homage to my birth country as a solo artist.

Ukraine has managed to preserve a great heritage of traditional music.
Today, over 800,000 of these songs have been listed and published. Moving, poignant, funny, infectious, they are a never-ending source of inspiration for me. Composing with these melodies in mind, melodies that tell the dirt truth (the most ancient songs sometimes have a rough sound) is pure happiness. I feel that the injection of jazz, improvised music, ranging in style from classic to contemporary, has shed a fascinating light on these time- honoured songs. Like precious gems in the rough, chiselled to shine ever brighter.

Dimitri Naïditch

Produced by Piano Ma Muse
Dimitri Naïditch plays on a Steinway D piano
Recorded in Augest 2022, at DINAÏ Studio in Achères la Forêt
Recording mixing: Rémi Bourcereau
Mastering: Julien Bassères – Studio de Meudon
Graphic design, photos : Marc Ribes

DINAÏ records 2022

1 of 15

1. Ne bois pas mon fils  

03 :04

2. La jeune fille et le fleuve (chant de mariage)

03 :15

3. Danse des Carpates

03 :15

4. Kolyskova (Berceuse)

03 :16

5. Pryjdy Mamka

03 :13

6. Na gori ovés (chant de mariage)

04 :08

7. Tchernovytska

05 :00

8.Oj sim lit boula

05 :11

9. Chanson en La

02 :41

10. Toccata sur Nesé Galia vodou

03 :38

11. Tchom ty ne pryjchov (Pourquoi tu n’es pas venu)

03 :51

12. Fauve song

05 :00

13. Douma

03 :18

14. Improvisation sur l’hymne Ukranien

04 :44

Dimitri Naïditch : piano, compositions originales (3,7,9,12,13) ou inspirées par les chants traditionnels (1,2,4,5,6,8,10,11)

UKRAINE
Les chansons sans voix

Sortie le 9 décembre 2022


Depuis le 24 février 2022, ma vie a changé.
Mon pay d’origine, Ukraine, est menacé de destruction, piétiné, humilié par une force brutale et sans âme. Des atrocités inimaginables sont commises sans cesse…

Un pays où tous les habitants sont déclarés nazis, et qui méritent d’être exterminés.
Les hommes, les femmes, les enfants…
Malgré plus de 30 ans vécus en France, mais je me sens attaquer dans mon corps, dans mon esprit et dans mon âme. Ma seule envie aujourd’hui, c’est de crier, chanter, jouer, pleurer… l’Ukraine !!! …et résister à tout prix !

Refaire un CD dédié à l’Ukraine en ce moment douloureux devient une évidence et une nécessité absolue. Après des nombreux projets dédiés à cette musique réalisée auparavant, c’est en solo que j’avais envie de rendre hommage à mon pays natal
aujourd’hui.

L’Ukraine a su conserver un grand patrimoine de la musique traditionnelle. Aujourd’hui, plus de 800 000 chansons ont été répertoriées et éditées… Chansons de fêtes, débordantes de joie, chansons lyriques, pleines de poésie, depuis des siècles (certaines ont plus de mille ans), transmises d’une génération à
l’autre, elles nous amènent les reflets des temps passés. Émouvantes, poignantes, drôles, entraînantes, elles sont pour moi une source d’inspiration inépuisable.

Composer autour de ces mélodies d’une vérité terrienne (parfois aux sonorités rudes pour les plus anciennes) est un pur bonheur. Il me semble que le fait d’apporter les couleurs du jazz, des musiques improvisées, de la musique classique et contemporaine donne à ces chants “archaïques” un éclairage intéressant. Comme des pierres précieuses, une fois ciselées, elles commencent à briller encore plus.

Dimitri Naïditch

Dimitri Naïditch joue sur un piano Steinway D
Enregistré en Aout 2022, au DINAÏ Studio à Achères la Forêt
Enregistrement, mixage, Rémi Bourcereau
Mastering : Julien Bassères, Studio de Meudon
Conception graphique, photos : Marc Ribes
Correction textes : Jean Mereu
Traduction anglais : Kay Denney
Gestion de projet : Polina De Carlo

DINAÏ records 2022

1 of 15

SOLISZT

Sortie le 9 décembre 2022


Après BACH UP et AH ! VOUS DIRAI-JE MOZART, SOLISZT est la troisième CD de la série NEW TIME CLASSICS proposé par DINAÏ Records, dédié à la musique de Frantz LISZT.

L’un des premiers artistes à devenir une Star adulée, représentant éminent du Romantisme du 19ème siècle, compositeur prolifique, pianiste à la carrière fulgurante, pédagogue reconnu, improvisateur de génie, mais aussi écrivain et philosophe, Liszt a marqué son temps et laissé une forte empreinte dans l’histoire de la musique.

J’ai toujours été impressionné par la démesure de la projection énergétique de sa musique, par la force qui émane de chaque note, qui semble être écrite pour traverser l’espace et le temps… Dans le but ultime de pouvoir changer le Monde, de le rendre meilleur ?
Je me suis senti aussi proche de cette quête d’absolu, de cette aspiration vers des idéaux lointains … impossibles à atteindre, et d’autant plus désirés !

Si typique de l’art Romantique, c’est dans l’œuvre de Liszt que cette quête a trouvé son expression parmi les plus abouties. – Dimitri Naïditch

1. F. Liszt :  Vallée d’Obermann, Années de Pèlerinage, Première Année, Suisse, S.160, n° 6,

13 :43

2. D. Naïditch : Ma Campanella (inspiré par Etude S161, n° 3 La Campanella Paganini-Liszt )

05 :15

3. D. Naïditch : Trêve D’Amour (inspiré par les « Rêves D’amours » Liebestraum, S.541, n° 3)

08 :14

4. D. Naïditch : Improvisation sur En rêve, Nocturne, S.207

04 :11

5. D.Naïditch : Mephistouchka  (inspiré par Mephisto Valse n° 1, S.514 )

07 :32

6. D. Naïditch : Constellation (inspiré par Consolation n° 2, S.172)

05 :56

7. D. Naïditch : Improvisation sur La Cloche Sonne,  S.238

04 :21

8. D. Naïditch : Vieille Romance  (inspiré par  Romance  en mi mineur « O Pourquoi Donc… », S. 169 )

07 :15

9. D. Naïditch : Consommation  (inspiré par Consolation n° 3, S.172 )

04 :59

10. F. Liszt : Sonnet de Pétrarque 123, S.210

06 :45

Produit par Piano Ma Muse
Dimitri Naïditch joue sur un piano Steinway D
Enregistré en Juin 2021, février 2022 au DINAÏ Studio à Achères la Forêt
Enregistrement, mixage, Rémi Bourcereau
Mastering : Julien Bassères, Studio de Meudon
Conception graphique, photos : Marc Ribes
Correction textes : Jean Mereu
Traduction anglais : Kay Denney
Gestion de projet : Polina De Carlo

DINAÏ records 2022

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Didier Lockwood – Les Mouettes


Partenaire de scène, ami de Didier Lockwood pendant plus de 20 ans, Dimitri Naïditch enregistre ici une pièce de Didier : Divertimento pour piano et violon « Mister Casa »

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BACH UP

2019


Bach Up est le premier album d’une nouvelle collection de « classique en jazz », pensée et réalisée par Dimitri Naïditch, nommée NEW TIME CLASSICS. Le travail d’arrangement et de composition préalable, l’improvisation libre autour du texte original, tout lui sert à s’approprier des œuvres célèbres et leur donner un éclairage nouveau.

Dimitri Naïditch : piano, mélodica, compositions, arrangements
Gilles Naturel : Contrebasse
Arthur Alard : batterie

Table Header
1. Prélude en Do Majeur N 1, Clavier Bien Tempéré
5 : 35
2. Concerto pour violon en La Mineur, BWV 1041
6 : 14
3. Bach - Marcello : « Adagio »
7 : 52
4. Musette en Ré Majeur, BWV Anh. 126
6 : 26
5. Fugue en Do Mineur N 2, Clavier Bien Tempéré - D. Naïditch Jazz Fugue
6 : 59
6. Prélude en Do Mineur N 2, Clavier Bien Tempéré
4 : 35
7. Air, Suite pour Orchestre N 3 en Ré Majeur, BWV 1068
6 : 23
8. Badinerie, Suite pour Orchestre N 2 en Si Mineur, BWV 1067
4 : 37
9. Bach Siloti : Prélude en Si mineur
3 : 08
10. Improvisation sur le thème B.A.C.H.
6 : 49

Produit par Piano Ma Muse
Dimitri Naïditch joue sur un piano Fazioli.
Enregistré en Juillet 2014, et septembre 2018 au Studio de Meudon.
Régisseur du son : Rémi Bourcereau (1,3,4,6,7,8,9) – Julien Brassers : (2,5)
Mixage : Rémi Bourcereau, Studio La Menuiserie.
Mastering : Julien Brassers, Studio de Meudon.
Conception graphique : Sergiy Mykhay
Photos : Oles Badio, Jérémy Bruyère, Hervé Chaussade, Thierry Lescaut
Traduction anglais : Kay Denney

DINAÏ records 2019

BACH UP, Bach en Jazz … Le thème est loin d’être un terrain vierge. Parmi les compositeurs classiques, c’est peutêtre Bach qui a fait l’objet du plus grand nombre de tentatives de modernisation, de « jazzification ». Comment ne pas évoquer Jacques Loussier, l’un des premiers à avoir connu un succès planétaire avec « Play Bach » ! D’ailleurs, beaucoup de musiciens s’y sont essayé depuis. Mais pourquoi Bach plus que les autres ? Voici quelques raisons qui, à mon avis, expliquent cet engouement des jazzmen pour la musique de Bach.

Malgré l’éloignement temporel et géoculturel, on peut relever un certain nombre de similitudes entre la musique de Bach et le Jazz.

Le rythme, à l’époque de Bach, n’a pas encore subi « l’humanisation » apportée par le romantisme du 19ème siècle qui a fait du rubato un outil d’expression essentiel. Chez Bach, le rythme est encore solide, objectif. Telle une armure, il maintient tout le tissu musical. A l’instar du jazz où le rythme est un élément essentiel.

La structure harmonique claire qui définit la forme chez Bach ressemble à une grille de jazz. Au-dessus de cette structure rythmique – harmonique, Bach tisse une broderie mélodique avec des notes de petites valeurs : croches, doubles croches. Il en va de même avec le jazz quand le musicien invente, en temps réel, de nombreuses mélodies, des ornementations sur la structure harmonique (la fameuse grille de jazz) en la remplissant de notes de petites valeurs.

Ces deux aspects rendent le travail de «jazzification » des pièces de Bach assez évident et naturel.

Vous vous demandez, pourquoi j’ai décidé, à mon tour, de faire ce disque ? J’ai adoré Bach depuis ma tendre enfance. Ma mère, l’une des éminents professeurs de l’École Soviétique de piano, grande spécialiste de Bach, a su me transmettre cet amour. Tout petit, j’adorais me mettre sous le piano pour l’écouter jouer Bach. L’un de mes morceaux préférés était le Prélude en do dièse mineur du Clavier Bien Tempéré. Je me souviens de sensations presque étranges…

J’avais l’impression que mon âme s’éloignait de mon corps pour monter dans le ciel et, de là, observait la douleur du monde avec un détachement quasi divin, mais aussi avec une grande compassion … En grandissant, je me suis un peu éloigné du Maître des Maîtres en me retournant vers la démesure des Romantiques ou vers la liberté du jazz … C’était pour mieux le retrouver quelques années plus tard … Depuis, la musique de Bach reste pour moi une source d’inspiration inépuisable.

Elle m’étonne par ses sonorités parfois contemporaines. Elle m’enrichit et me recharge. Elle me remplit d’une énergie cosmique et me parle de l’harmonie entre l’Homme et l’Univers.

BACH UP !

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Didier Lockwood / Marcel Azzola - Waltz Club

2006


Partenaire de scène, Dimitri Naïditch créé à ses côtés de nombreux projets artistiques en tant que pianiste classique, pianiste de jazz, arrangeur et compositeur. Pour ce disque, à la demande de Didier Lockwood, Dimitri réalise une série d’arrangements, signe un titre original, et en assure la direction artistique.

« Cet enregistrement a été un véritable bonheur. L’approche de ce répertoire consacré à la valse m’a permis de renouer avec les racines mêmes de ma culture musicale populaire et classique. Les arrangements subtiles et raffinés de Dimitri Naïditch nous permettent de faire cohabiter ces deux styles musicaux avec élégance et fraîcheur. » – Didier Lockwood.

Credits

Arrangements by Dimitri Naïditch
Violin : Didier Lockwood
Accordion : Marcel Azzola
Contrabass : Jean-Philippe Viret
Guitar : Martin Taylor
Recorded at Forêt Studio in Barbizon, France
Record Label : Universal Music France, 2006

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TRIO KIEV

2009


Après DAVNYNA, le TRIO KIEV est un 2ème volet du travail de composition que Dimitri Naïditch réalise autour des chants traditionnels ukrainiens. En apportant les couleurs du jazz, de la musique contemporaine, la liberté d’improvisation, Dimitri Naïditch nous révèle la vérité profonde du folklore ukrainien incarné ici par les excellents Susanna Karpenko et Sergiy Ohrimchuk.

« Quand les chants traditionnels Ukrainiens rencontrent le Jazz »

Dimitri Naïditch : piano, composition, arrangements
Susanna Karpenko : chant
Sergiy Ohrimchuk : violon

Table Header
1. « La jeune fille et le fleuve » (chant de mariage)
5 : 2
2. « Volodarthcik » (chant de printemps)
5 : 50
3. « Pourquoi n’es-tu pas venu ? » (chant lyrique)
5 : 14
4. « La jeune veuve » (chant lyrique)
4 : 21
5. « Le cheval de quelqu’un » (chant lyrique)
4 : 41
6. « L’enfant perdu » (chant des moissons)
5 : 07
7. « Lune joyeuse » (chant de mariage)
5 : 56
8. « Ne bois pas mon fils » (chant lyrique)
4 : 05
9. « Boukovinska » (danse)
2 : 43
10. « Sur une colline l’avoine est si belle » (chant de mariage)
5 : 49
11. « Tu es brune, si brune » (plaisanterie)
3 : 40

Prise de son, mastering : Mihail Didkovsky
Mixage : Dimitri Naïditch
En couverture : tableau d’Ivan Martchuk
Graphisme : Sergiy Mykhay
Photos : Oles Badio, Natalka Andrusenko
Enregistrement : Studio de la Maison de la Radio Ukrainienne, Kiev, juillet 2009

Label d’enregistrement : RG Music

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Le Jazz et La Diva

2006


Gros succès du moment, le spectacle « Le Jazz et La Diva », mis en scène par Alain Sachs a obtenu, entre autres, le Molière du meilleur spectacle musical 2006. Créé au Théâtre de la Gaité Montparnasse, il a été par la suite présenté des centaines de fois dans plusieurs théâtres parisiens, ainsi qu’en tournée dans toute la France et aux État Unis. Acteur indispensable du spectacle grâce à sa capacité de naviguer aisément entre la musique classique et le Jazz, Dimitri Naïditch se fait également remarquer pour son travail de comédien. Il réalise aussi des arrangements de plusieurs titres parmi lesquels un arrangement impressionniste de chanson populaire française « Colchiques dans les Prés ».

Piano : Dimitri Naïditch
Violon, Trompette : Didier Lockwood
Chant : Caroline Casadesus
Régisseur : Alain Sachs
Arrangements par Dimitri Naïditch
Enregistré au Studio De La Forêt
Ingénieur, Masterisé : Brice Payen
Mixé par, Violon, Trompette : Didier Lockwood
Label : Ames, 2006

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DAVNYNA

2006


Pour Dimitri Naidïtch, le projet DAVNYNA est un retour aux sources, un hommage au patrimoine culturel de son pays natal – l’Ukraine. Il collabore avec des folkloristes et musiciens ukrainiens : Anna Koropnichenko, puis Susannna Karpenko et Sergei Ohrimchuk. Mettant en scène les chansons les plus anciennes, il réalise un travail de composition et d’arrangement en apportant les couleurs de divers styles de jazz, de musique improvisée et de musique contemporaine. Issue de la nuit des temps, la vérité profonde du chant ukrainien nous apparaît sous un tout nouvel éclairage.

Mis en scène par Yves Pinard, le spectacle DAVNYNA a été présenté dans plusieurs salles de spectacles.

« Le cocktail se révèle excellent et les magnifiques voix de Anna Koropnichenko et Suzanna Karpenko ne font qu’une avec la musique de ce musicien talentueux, étonnant pas sa virtuosité et sa puissance énergétique. Le compositeur et pianiste nous amène tout au long du voyage dans les racines profondes de la culture ukrainienne. » – Le Progrès

Table Header
1. Jyto Maty
08 : 11
2. Pridji Mamka
07 : 39
3. Koliskova
03 : 01
4. Zbirnia
04 : 36
5. Oj sim lit boula
05 : 11

Dimitri Naïditch : piano
Suzanna Karpenko : voix (1.3)
Anna Koropnitchenko : voix (2.4.5)
Rick Margitza : soprano, tenor sax
Jean-Philippe Viret : basse
François Verly : percussions, batterie

Composition et arrangements de Dimitri Naïditch à partir de chants traditionnels
Enregistrement réalisé au Studio de la Forêt et au studio de l’union des compositeurs à Kiev
Ingénieurs du son : Brice Paven, Valery Stoupratsky
Conceptions graphiques : Sergiy Mykhay

Label d’enregistrement : Autoproduction

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Ces Amours là


CD de la bande originale du film de Claude Lelouch « Ces Amours Là ».

Lors de cette 1ère collaboration avec Claude Lelouch, Dimitri Naïditch enregistre ici la plupart des parties piano de
la bande originale du film.

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COSSIA

2005


Second disque en solo de Dimitri Naïditch, constitué essentiellement de compositions personnelles, sorti en 2005 sous le label Ames.
« Dimitri nous raconte la musique de sa terre ; frisson du jazz, folklore ukrainien, univers classique…Je l’écoute toujours avec
beaucoup d’émotion et de respect. » – Richard Galliano

Table Header
1. Nocturne
2. Stella by starlight
3. 5F
4. Berceuse pour un cheval fatigué
5. Matucha rag
6. Si mineur
7. Tucha
8. Fantaisie Bulgare
9. Cossia
10. Over the rainbow

Composition et arrangements de Dimitri Naïditch
Dimitri Naïditch joue sur un piano Steinway D
Enregistré à Enregistré à CNSMD Lyon et Studio de la Forêt
Label d’enregistrement : Ames 2005

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Didier Lockwood – For Stéphane


Un second hommage de Didier Lockwood à Stéphane Grappelli avec une brochette de partenaires de haute voltige, dont Dimitri Naïditch pour l’un de titres. Pendant plus de 20 ans Dimitri Naïditch a donné plusieurs centaines de concerts en compagnie de Didier Lockwood. En duo ou en trio, avec Caroline Casadesus ou Patricia Petibon. Ces concerts ont chaque fois révélé leur complicité musicale exceptionnelle.

« Pour Sa première carte blanche le pianiste ukrainien a trouvé son partenaire idéal : l’inclassable Didier Lockwood. Pour ce duo complice, les standards incontournables du jazz se transforment en vaste terrain de jeu. Car il s’agit bien de jeu entre ces deux virtuoses : d’une part un pianiste fantasque, l’humour en plus, d’autre part un violoniste de haute voltige ; tous deux prenant un malin plaisir à brouiller pistes. » – Le Dauphiné

Un aperçu sur ce CD avec une version de la Méditation de Thaïs de Jules Massenet, arrangé par Dimitri Naïditch.

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DE L’AVIS D’UN CLOWN

1996


C’est le 1er disque de Dimitri Naïditch en France, publié par Philippe Vincent chez Ida records. Le programme du disque a été récompensé par le titre de Révélation « Suivez le Jazz » 1995 et le prix du concours d’Avignon. Le spectacle De l’Avis D’un Clown, basé sur la musique du disque, a tourné dans de nombreuses salles de spectacles en France et à l’étranger.

« Chacune de ses prestations en solo est un spectacle à part entière. C’est un véritable conteur qui transporte son auditoire dans un monde d’images colorées grâce à beaucoup de poésie mais grâce aussi à une étonnante présence scénique où l’humour, la nostalgie et le romantisme font bon ménage avec une grande virtuosité et une énergie de tous les instants. Ses compositions font partie de ce maëlstrom musical de la fin du siècle qui fait de la valse des étiquettes une règle d’art. On pourrait dire que sa musique est un étourdissant mélange de son solide « background » classique, de jazz contemporain et du folklore slave de sa terre natale. Comme si son style, très personnel ne pouvait trouver ses références qu’à la limite des genres. Mais il faudrait dire aussi que chaque morceau qu’il compose est un voyage imaginaire à travers le temps et à travers le monde ; une sorte d’histoire qu’il invente pour « sortir » du piano. » – Philippe Vincent

Table Header
1. Naigrichi
4 : 05
2. Hommage à Charlie Chaplin
5 : 57
3. Histoire d'un vieux piano
6 : 13
4. Ispania
7 : 45
5. Valse nostalgique
6 : 06
6. De la vie d’un clown
8 : 39
7. Lounnia
4 : 15
8. Na Vetchornitza
8 : 06
9. Sophisticated Lady
5 : 21
10. Coda
2 : 05

Compositions : Dimitri Naïditch (sauf Sophisticated Lady de Duke Ellington)
Piano, Synthétiseur, Melodica: Dimitri Naïditch
Clarinette : Alain Billard (pistes : 3,6)
Flûte : Raphaëlle Truchaut (pistes : 6)
Percussion : Michael Boudoux (pistes : 3,4,6)
Mixage : Sttudio la Buissonne par Roger Amoros
Photos : Roger Turqueti
Illustration : Sergiy Mykhay
Graphisme et mise en page : Ariane Boris
Producteur exécutif pour l’édition en CD : Philippe Vincent

Enregistrement musical réalisé en mars 1995 au CNSM de Lyon par Emmanuel Gares (Studio Boite à Sons assisté
de Caroline Roger.

Label d’enregistrement : IDA Records 1996

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Un + Une


CD de la bande originale du film de Claude Lelouch « Un + Une ».

A la demande de Claude Lelouch et de Francis Lai, Dimitri Naïditch participe dans ce film en tant que pianiste et arrangeur pour quelques titres. Il enregistre un Nocturne de Chopin, ainsi que ses arrangements ou improvisations autour de la musique de Schubert et de Francis Lai.

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CHACUN SA VIE


CD de la bande originale du film de Claude Lelouch « Chacun Sa Vie ».

A la demande de Claude Lelouch, avec lequel il collabore pour plusieurs films, Dimitri Naïditch compose et enregistre ici une partie de la bande originale du film. C’est ainsi qu’est né le « Concerto pour Piano et Nostalgie ».